CHAQUE ENFANT A BESOIN DE LA SÉCURITÉ ET DU SENTIMENT D’APPARTENANCE D’UNE FAMILLE 

Au Nouveau-Brunswick, 730 enfants et jeunes* sont sous la garde permanente de la province. Cela signifie qu’ils n’ont plus de parents légaux — la province est leur tutrice.

Chacun de ces enfants a besoin d’une famille sûre, stable et aimante où il peut guérir, s’épanouir et trouver sa place.

Certains trouveront la permanence par l’adoption, la tutelle ou les soins par un proche (kinship). D’autres retourneront en sécurité dans leur famille biologique grâce à la réunification. Et pour plusieurs, leur parcours commencera par le soutien bienveillant d’une famille d’accueil.

Peu importe la manière dont la permanence est atteinte, chaque enfant a besoin de quelqu’un qui reste — pas seulement pour un moment, mais pour la vie.

🌿 POURQUOI LA PERMANENCE COMPTE 🌿 

Pour les enfants qui ont vécu la perte ou la séparation familiale, la permanence signifie bien plus qu’un toit au-dessus de leur tête — elle signifie l'appartenance.


Lorsqu’un enfant grandit sans lien familial durable, il fait souvent face à l’incertitude, à des déménagements fréquents et à l’instabilité.


Une famille permanente offre sécurité, constance et amour — la base de la guérison et de l’espoir.


La permanence peut prendre plusieurs formes, mais elle signifie toujours une seule chose : une famille — quelle qu’en soit la forme — qui dure.



🛣️ LES CHEMINS VERS LA PERMANENCE 🛣️


Il existe plusieurs façons d’aider un enfant pris en charge à trouver la permanence.

Chacune offre aux enfants stabilité, liens et la possibilité de grandir dans un milieu familial bienveillant.



🚪 LORSQUE LA PERMANENCE N’EST PAS TROUVÉE 🚪

Lorsqu’un jeune atteint 19 ans et quitte la tutelle sans famille permanente, il vieillit hors du système. Cela peut signifier :

Alors qu’environ 40 % des jeunes adultes âgés de 20 à 29 ans au Canada vivent encore chez leurs parents, 0 % des jeunes qui vieillissent hors du système ont cette option. Sans soutien familial, ces jeunes risquent davantage d’abandonner l’école, de vivre une grossesse précoce, de connaître l’itinérance et la pauvreté.

Chaque jeune mérite mieux.
Chaque jeune mérite un sentiment d’appartenance qui dure.

Ensemble, nous pouvons faire en sorte que chaque enfant — et chaque famille — dispose du soutien nécessaire pour guérir, s’épanouir et prospérer.